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| Sujet: (COSTA) la nuit je mens Sam 1 Avr - 11:23 | |
| COSTANTINE "COSTA" BERIANI LA HAINE ATTIRE LA HAINE MORE ABOUT ME↝ NOM : C'est pas une chance. C'est pas non plus un héritage. C'est ce nom que porte cet homme ignoble. Même pas un père. Même pas la moitié d'un père. Juste un géniteur. Un semeur. De vie et de trouble. D'emmerde aussi. Ce qu'il a laissé derrière lui. Ses gosses, sa femme, et ce nom qui continue à résonner, qui chante un peu l'été et l'Italie. Beriani, ou les enfants maudits. ↝ PRENOM : La Mama y tenait plus que tout, vous donnez un prénom italien. L'italie, celle qui résonne dans ses mots quand elle t'engueule, celle qui chante quand elle cuisine, celle qui parcourt les murs de votre petite maison, qui donne un peu de couleur au ciel gris. Costantino, c'est le prénom qu'elle a choisi pour toi. Mais trop long, trop compliqué, trop pompeux, t'es vite devenu un autre. Costa. Rafaele c'est le prénom d'un grand-père inconnu, décédé trop tôt, l'héritage d'une famille bancale jusqu'au bout.↝ SURNOM : Costa, seulement Costa ↝ ÂGE : vingt six années usées. vingt six années gâché. Une enfance bafouée, une adolescence chaotique et quelques années perdues.↝ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Vous êtes tous nés ici, tous les trois, à Detroit. Toi t'a vu le jour, tu es arrivé sur cette putain de terre un certain vingt trois janvier mille neuf centres quatre vingt onze.↝ ORIGINES : L'italie dans le coeur de la mère. L'italie qui la fait vibrer. L'italie qui la fait rêver. ↝ MÉTIER OFFICIEL : Tu gères un bar du coin avec un ami d'enfance, couverture de votre petit trafic d'armes, plaque tournantes des armes et des filles. Les flingues et les putes, les meilleures inventions de Dieu. C'est ce qui te rapporte le plus de fric, ce qui te donne le plus de plaisir aussi. Mais toi t'en a jamais assez, tu'as toujours besoin de plus, toujours envie de plus, et depuis quelque temps, c'est dans les braquages que tu trouves assez d'argent. ↝ GANG ET STATUT : Toi, t'es dans les rangs des Lost Children, simple membre, depuis déjà quelques années. Cinq, ou six. Mais au fond tu t'es toujours sentie comme eux, un gosse abandonné, lâché en pleine jungle urbaine. C'est elle, ta famille, ta vraie famille. Officieusement, tu donnes dans le trafic d'armes, tu récupères les livraisons, les revend -sans oublier ta part-. Et puis y'as les filles. Ton gout pour les filles trop jolie, trop facile. Et cette même facilité que tu as à les exploités. Vendre leurs culs aux plus offrants. Le petit prince des cuisses qui s'ouvrent trop facilement... ↝ ORIENTATION SEXUEL : Les courbes divines, les peaux douces, les doigts fins qui s'accrochent à ton coup. Les femmes et leur soupirent, ceux qu'elles t'offrent quand elle le veulent bien. Les sourires, et les regards. Les rires et les cris. Les femmes.↝ STATUT CIVIL : Tu n'es rien et tu n'appartiens à personne. L'électron libre, le coeur d'acier. Le coeur mort, enterré, sous les décombres de ces quelques années passé avec elle. Ton coeur cassé quand le sien s'est arrêter. ↝ SITUATION FINANCIÈRE : Ça va, ça viens. Tu préfères quand ça va. ↝ AVATAR : David Prat ↝ GROUPE : brass knuckles
↝ CARACTÈRE : Maman dira que non. Qu'au fond, tu n'es pas un mauvais garçon. Elle a tort. T'es pourri jusqu'à la moelle toi. Pourri de partout. Pourri par l’appât du gain, pour mener une vie facile, pour satisfaire ton ego, pour rassasier la fierté qui écrase. Pourri d'égoïsme quand tu ne penses qu'à toi, qu'à ton sort, ton avenir. Pourri de violence quand ton bras impulsif rencontre un corps pour l’abîmer. Tellement pourri que tu ne différencies même plus le bien du mal. Et pourtant, tu sais te faire apprécier, tu sais prendre le sourire qu'il faut, poser le regard suffisant pour faire chavirer les cœurs. T'accorde peu ta confiance, c'est vrai, seuls "tes frères" y ont le droit. T'es ce genre de mec loyal, qui accorde toutes son importance aux paroles qui sont prononcées, t'es ce genre de mec exigeant avec les gens qui l'entourent, t'es ce genre de mec qui ne pardonne rien.
- Code:
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<pris>david prat ;</pris> <nomp>costa beriani </nomp>
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↝TA MAISON BRÛLE, T'ACCUSES QUI EN PREMIER ? : Le voisin. Franchement, ça fait un moment que tu dis que ce mec est bizarre, qu'il te regarde mal quand tu le croises dans la rue, dans l'immeuble. Il s'arrête toujours devant ta porte quand il sort ses poubelles. Et puis il plus tout jeune, il a la cinquantaine bien passée, toujours cet air grognon sur les lèvres, il y a qu'à voir son chien qu'il parle. Franchement, ce mec est bizarre, et puis t'a vu son appart . Un vrai bordel, un tas de coupures de presse, quelques armes de guerre et de vieux animaux empalés. C'est sur ce mec cache un truc, il est louche, trop louche. ↝ Toujours en feu, t'as le temps de sauver trois choses. Tu prends quoi ? : Tu sais même pas s'il y aurait trois choses à sauver chez toi. Tu sauves Shiver, la pauvre bête qui te tiennes compagnies, la seule que tu aies quand tu t'enfermes chez toi. Tu prends ce qui te tombe sous la main surement, un paquet de clopes, un vieux sweat, une photo. Une photo d'elle. Pour pas l'oublier, jamais. ↝ Maintenant que l'incendie est passé, t'as prévu quoi pour te venger ? : Retrouver ce fumier, lui faire passer l'envie de recommencer, lui refaire le portrait et puis trouver un peu de tunes chez lui pour te rembourser. T'es un adepte de la vengeance, ta toujours cette rage qui te porte, qui te transporte et te fait agir. ↝ Et le Maire qui dit qu'il veut reconstruire la ville en mieux, tu lui fais confiance à ce barjot ? : Non. Non tu fais confiance à personne. Encore moins aux politiciens, pleins de promesses et de faux espoirs. Il s'en fout pas mal de la ville, il s'en foute pas mal de vous, ils sont égoïstes, ne pense qu'à eux, à leur propre richesse et leur propre confort.
| Y'a mes empreintes sur pas mal de ces murs et mon ADN sur pas mal de ces culs(MAMA) Les mots doux, les tendres caresses, la force d'une mère. Une mère a l'âme italienne, aux mots forts, aux paroles hautes, au courage inestimable. Une mère qui se marie trop tôt, trop jeune, une mère qui aime la vie, une mère qui veut vivre. Une mère amoureuse, et trois beaux enfants. Un pavillon un peu miteux, un père un peu peureux, et le portrait d'une famille idéale qui s'effrite déjà. Mais la Mama restera là, gravée dans ton coeur âme, gravé dans ton cœur. Le sourire radieux, l'oeil pétillant, les gestes précis quand elle répare les "bobos". Tu l'aimes ta mère, c'est indéniable. Tu l'aimes bien plus que ce que tu pourrais lui avouer. (MOINS QU'UN PERE) Pire qu'un lâche. Il était là, avec ses épaules d'hommes, sa barbe d'homme, son regard d'enfant. C'est ce qui a plus à ta mère. C'est son charme, son sourire envoutant, ses mots doux et ses promesses futiles. Mais papa est partis. Tu t'en souviens comme si c'était hier. Du haut de tes huit ans tu as regardé ce père -qui ne l'a jamais vraiment été, absent, passif, il ne tenait que le rôle de paternel sur le livret de famille-, se retourner sur vous une derrière fois, vous dire qu'il reviendra. Il n'est jamais revenu. Ta mère en a pleuré pendant des jours entiers. Puis les pleure ont cessé, remplacé par la haine, la hargne que cet homme t'inspire (MOINS QU'UN FRERE) Vous partagez le même sang, le même nom, les mêmes souvenirs, la même famille bancale. Il complète le joli tableau un peu rouillé. L’aîné de la famille, le bon et le truand. Toi t'es le truand. Lui a choisi d'être bon, de faire ses classes, de rejoindre les rangs des flics. Les mêmes flics que tu détestes. Deux frères, deux vies, deux chemins diffèrent. (PRIEZ POUR NOUS PAUVRE PECHEURS) Ça peut paraître bizarre, on t'imagine pas Croire en dieu, on t'imagine pas croire en quelque chose de plus puissant, de plus fort que toi. Mais c'est ta mère qui t'a donné cette éducation religieuse, qui t'a offert cette croix que tu portes autour de ton cou. Croire en dieu, en une puissance divine. Se confesser, parfois, tout en sachant qu'on n'ira pas au paradis... Ironique. (ELLE) Elle s'était le genre de fille sur lequel tu te retournais facilement, le genre de fille que tu croises dans une soirée et que t'oublie jamais. Comment t'aurais pu l'oublier, elle et ses yeux trop profonds, le regard brun qui te hante. Elle t'a jamais pu l'oublier, même quand elle t'énervait, quand elle faisait bouillir le sang pour te mettre en rage, quand elle claquer les portes et menacer de se tirer. T'as jamais pu l'oublier et t'as surtout jamais su l'aimer, jamais comme il aurait fallu, jamais comme s'aiment les gens normaux. Pourtant tu le sais qu'elle avait son importance dans ton coeur. Tu sais que tu l'aimais. T'as jamais pu l'oublier, même quand elle a disparu, complètement, envolée, rayer de la population, son nom sur une pierre tombale. (PAS SANS ELLE) BLAHBALAH (LES COURBES) Il bat encore ton coeur. Pour Elles. Pour les belles courbes, les jolies formes. Pour les fesses bien rebondies, pour les seins, petit ou gros, qui pointe joliment sous la dentelle, entre tes doigts. Les chevelures blondes, brunes, ou roux qui s'enroulent dans tes mains. Les yeux bleus, verts, noisettes, qui se posent sur toi. Les souffles qui rencontrent ta bouche, ta peau, ton âme. Les corps facilement manipulable, les âmes délicates, prête à avaler toutes tes belles paroles, tous tes beaux sourires. Les poupées qui se brisent entre tes mains. Les femmes. Tes maux, ton addiction, ta perte. (LES MAINS SALES) À force de trainer dans la boue, a force de remuer la merde, a force de trainer dans toutes tes petites combines qui te font tomber un peu plus bas à chaque fois. Tes les mains sales Costa, sale de tout ce que tu remues, sale de toute la merde que tu traines derrière toi. Et t'a beau les laver tes mains, jamais tu te laveras de toute cette merde. (LES MAINS SANG) Et mollis nunc diam eget sapien. Nulla facilisi. Etiam feugiat imperdiet rhoncus. (L'ESSENCE ET L'HUILE) Et mollis nunc diam eget sapien. Nulla facilisi. Etiam feugiat imperdiet rhoncus. (SHIVER) Et mollis nunc diam eget sapien. Nulla facilisi. Etiam feugiat imperdiet rhoncus. (LES GAMINS PERDUS) Et mollis nunc diam eget sapien. Nulla facilisi. Etiam feugiat imperdiet rhoncus. (SANS AVENIR) Et mollis nunc diam eget sapien. Nulla facilisi. Etiam feugiat imperdiet rhoncus. 14. Et mollis nunc diam eget sapien. Nulla facilisi. Etiam feugiat imperdiet rhoncus. 15. Et mollis nunc diam eget sapien. Nulla facilisi. Etiam feugiat imperdiet rhoncus.
↝ VOTRE PSEUDO : MONKEY ROADS ↝ PAYS : les droit de l'homme toussa, toussa ↝ FRÉQUENCE DE VISITE : 8j/7 ↝ OU AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? : chez ta mère ↝ T'AS PEUR DE QUOI ? : des clown ↝ UN MOT A RAJOUTER : fuck me i'm fabulous ↝ CREDITS : écrire ici. (c) killing me softly / 2017
Dernière édition par Costa Beriani le Jeu 13 Avr - 21:12, édité 24 fois |
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