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| Sujet: NO REQUESTS NO REGRETS Mer 19 Avr - 23:36 | |
| JAZIZ JAZ/ROY BANG BANG T'ES DANS L'GANG MORE ABOUT ME↝ NOM : roy — comme joseph roy, militaire de carrière mais surtout déserteur incapable et ivrogne notoire. la croix comme repentance et les coups et les poings déliés dans la gueule de ta mère comme addiction. ↝ PRENOM : jaziz. prénom hébraïque. amen.↝ SURNOM : jaz. parce que jaziz, il est mort. jaziz, c’est ce gamin pisseux. ce gamin merdeux. ce gosse d’église, à faire la quête, à bouffer l’eucharistie, à écouter les saintes écritures, à subir la cilice parce qu’il est déviant. parce qu’il est non conforme aux paroles évangéliques. au regard du tout puissant…. ↝ ÂGE : vingt-cinq yo. ↝ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 27.02.92. hôpital henry ford. détroit. ↝ ORIGINES : gréco-américaine. mais tu te considères comme un véritable 'ricain élevé aux OGM, aux pornos, aux chattes épilées et aux seins en plastiques. ↝ MÉTIER OFFICIEL : tueur à gage indépendant. dans la poudre et les langues de fumées des glock, fossoyeur, t’es cette putain de bestiole venimeuse qui s’élève dans la violence des meurtres sordides… pour quelques billets, pour quelques dollars. le sourire et la gâchette facile. t’es le géorgien. celui qu’on démarche pour faire le sale boulot. celui qui s’excite dans l’erbine et les rendez-vous carminés. ↝ GANG ET STATUT : lost children. fais parti des nettoyeurs. ↝ ORIENTATION SEXUELLE : bisexuel mal assumé aux tendances violences. parce qu’on t’as appris que c’était mal. qu’ici se cache le malin, la perversion. ↝ STATUT CIVIL : célibataire. ↝ SITUATION FINANCIÈRE : souvent compliqué. tu te suffis à toi même. ↝ AVATAR : ash stymest. ↝ GROUPE : brass knuckles.
↝ CARACTÈRE : t’es la flamme, le feu, le réservoir incandescent, le sourire navrant, désabusé, solitaire, colérique, l’humeur maussade, des coups d’jus, des coups d’foudre, coups d’blues, l’étau furieux atour des cous, jusqu’à la mort, la liberté au bout des doigts, entre le marteau et l’enclume, l’insoumis, violent comme un accident de d’bagnole, t’as l’goût d’la mer, la fraîcheur des rivières, l’ivresse de la vodka, la folie de la tequila, des couteaux dans les sourires, imparfait, des dogues pour fair mal, pour mieux aimer, des siècles éternels, le diable au corps, la communion, l’insomnie, le paradis, à genoux, des back-rooms, des pulsions qui animent, les yeux noirs desquels on voit du bleu, du sel dans la gorge, le cœur vide, le marteau et l’enclume, le triste du trottoir, l’illusoire, le goudron et le ciel, le tas d’os, tle as de poussière, le rire et le pleurs, les verres, le comptoir, les sanglots, les caresses à coup de crocs, la cuillère et la drogue, entre les feux, les non-dits, celui qui blesse, entre fêtes et des défaites, l’homme tempête, t’oublier, te déchirer, l’overdose, ivrogne, devenir roi du ciel, l'ecchymose, le cœur chrysanthème…
- Code:
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<pris>Nash stymest ;</pris> <nomp>jaz roy</nomp>
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↝ Ta maison brûle, t'accuses qui en premier ? : si la baraque venait à brûler, le repère, l’asile, ça me foutrait vraiment les boules. j’devrais alors démonter la tronche de Vlaesper. parce que ça peut-être que lui… c’est toujours de sa faute. ce con d’echo. ↝ Toujours en feu, t'as le temps de sauver trois choses. Tu prends quoi ? : ma gueule. ma gueule et ma gueule. j’emmerde le reste et les autres. ↝ Maintenant que l'incendie est passé, t'as prévu quoi pour te venger ? : œil pour œil, dent pour dent. j'suis pas du genre à faire dans la dentelle. j'possède peu de choses : ma carcasse déglinguée, quatre murs et un lit qui empeste des odeurs qui me rendent accroc, qui me rendent dingue. je possède vraiment pas grand chose, mais c'est toute ma vie. ici. cachée dans les recoins dégueulasses de cet appartement minable. alors je me verrais dans l'obligation de prendre à cette personne ce qu'elle m'a pris… et si ce n'est pas l'autre tête d'con d'echo alors, au connard qui brûle le bien des autres, je lui offrirai un lifting du visage et une petite rhinoplastie que j'aurais soigneusement rapiécé avec la lame d'un couteau. histoire de rendre sa gueule méconnaissable quand j'lui creuserai un trou entre les deux yeux avec mon glock. ouais. un truc comme ça… ↝ Et le Maire qui dit qu'il veut reconstruire la ville en mieux, tu lui fais confiance à ce barjot ? : j’emmerde le maire et le politiquement correct. sont palabre, sa belle gueule… du vent distiller à ceux qui ont envie d’entendre de la merde. j’y crois pas. j’y crois plus. détroit c’est le dépotoir. c’est la pute du michigan. l’oubliée. l’amère. l’esseulée.
| 2ème partie de la fiche01. t’es le fils d’un militaire de carrière. t’es le fils d’un homme profondément pieux venant d’une famille fervente catholique pratiquante. t’es le fils d’une pauvre fille, d’une mère paumée. d’une gamine venant de la géorgie pour s’échouer à détroit avec ses rêves de ‘ricaine. 02. couple d’intérêt pour camoufler cette erreur de jeunesse, couple bancale, mal assortit, entre rancœur et ressentiments, tu t’élèves seul, dans la solitude et les silences pesants de la maison. 03. triste spectateur, t’es l’enfant qu’on oublie derrière les fenêtres du salon. souvent seul, à regarder les passes, les couples qui se font et se défont. ces engueulades, ces cris bruyants et silencieux. t’es l’enfant que maman oublie dans ces fuites inespérées d’appartenir à autre chose qu’à une vie de famille triste et grise. 04. quand papa rentre à la maison, t’as enfin l’impression qu’on s’occupe de toi. d’appartenir à quelqu’un malgré le bourrage de crâne. malgré cette doctrine pour la religion. dieu est bon. aime ton prochain. 05. en fait, t’as jamais aimé dieu. cette connerie qu’oblige ton père à idolâtrer. quand il rentre, tous les dimanches, c’est la messe, c’est l’eucharistie, c’est les saintes écritures. à genoux devant le lit, devant l’assiette. devant les coups qui pleuvent, lestes et lourds sur la silhouette décharnée de ta pauvre mère. tu regardes faire. c’est normal. c’est chose commune. et tu pries. 6. la première fois d’une longue série d’autrefois. maman aborde une odeur de chrysanthème, des ecchymoses fleurissent sur sa mâchoire, le long de ces bras, témoignage d’un amour violent et corrosif. elle ploie sous la dominance de papa et toi… toi tu regardes. encore et encore. 7. y à un truc qui te dérange. c’est juste là. sous ta peau. ça te démange. cette curiosité mal placée. à ne pas comprendre pourquoi les filles, tu ne les regardes pas vraiment. pourquoi tu mates plus les mecs. pourquoi tu recherches leur présence, pourquoi tu les regardes eux et pas elles. elles dans leur jupe, dans leur short… t’as même ce magasine de sous-vêtements masculin. un truc juste comme ça. une curiosité mal placée. 8. c’est la première fois que tu rencontres la ceinture du paternel. il à déserté depuis quelques temps. l’alcool distille son sang, ronge ses sens et érode cette droiture. lâche. t’as du mal à comprendre alors que tourne en boucle les paroles des saintes écritures dans ta chambre. alors que la lanière de cuire bat le rythme de chaque verset contre ta peau et toi… toi. tout ce que tu vois c’est ce putain de magasine et cette rengaine, encore et encore. 9. « mon fils n'est pas un pédé. » 10. t’apprends que les pédés, ont leur donne ce qu’ils méritent : de l’aversion et de la violence pour cet avilissement. des bleus et des coups pour expier ce pêché dégueulasse qui les habitent. 11. t’es fais de contusions et de coups. t’es fais de cicatrices et de maux qui zèbrent ton dos. à jamais gravés. comme maman. deux âmes déglinguées. elle à pleurnicher dans son coin, son mari à sa droite, la main sur la télécommande, l’autre sur une bière bon marché et toi qui le fixe. le tuant de ton regard comme il te purifie à coup de cilice, chaque soir, le long de ton échine, pour expier, purifier, ce corps souillé par la perversion de la société. 12. gamin solitaire. à peine adolescent et déjà tu fais l’école buissonnière. t’en as strictement rien à foutre des cours. dans cette ville, t’appartiens à la crasse qui macule les murs, les rues, et les gens. t’es cette fange. cette merde qu’on veut pas trop remuer de peur d’être déranger par l’odeur, pas la vue. tu feras jamais rien de ta vie. tu le sais. autant en profiter. autant la brûler par les deux bouts. 13. dans ta vie, y a faust. putain faust, tu l’aimes à en crever. c’est le port. c’est l’attache. c’est le pote. le lien solide de ta vie. tu l’as rencontré comme ça. un jour. tu sais plus trop. t’as l’impression qu’il a toujours fait partie de toi, de ta vie, de tes inhérences. faust c’est l’encre. le refuge, l’exode, le fantasque. la violence, libératrice et salvatrice. 14. ça fait déjà quelques jours que ton paternel ne rentre plus à la maison. dans la chambre parentale, ces affaires manques et y à ce sourire de plaisir sur les lèvres de ta mère. elle s’anime sous les acides et les bouteilles en pyrex qui peuplent l’appartement. gin, vodka, sky. sous le regard des mecs qui passent, vont et viennent. les « chut » murmurés et les promesses étouffées. tu comprends que maman fait la retape. elle aborde cette tenue de pute au rabais lorsqu’elle rentre accompagnée. quand elle sourit, qu’elle promet quelques instants éphémères contre quelques billets. pourtant jamais elle ne remplie le frigo. distillant ses quelques dollars dans la boisson, dans les acides et le shit de mauvaise qualité. 15. tu squattes souvent chez faust. chez son père. chez sa mère. chez son petit frère. ce p’tit bâtard qui pose sur toi un regard qui perturbe et qui dérange. t’aimes pas le savoir prêt de toi, le savoir à coté de toi. te regarder et t’ébranler. t’as l’impression de revenir quelques années en arrière. à regarder ce putain de magasine de lingerie masculine et ton père… ton père qui te surplombe. « mon fils n'est pas un pédé. » 16. au final, t’as déboulé chez les Vlaesper comme ça. t’as posé tes bagages et t’es jamais reparti. tu t’es accroché à cette famille comme si elle était la tienne. la respectant pour ce qu’elle était et ce qu’elle est encore aujourd’hui : l’épicentre de ta vie. 17. aujourd'hui, tu le sais. t’es ce malheur qui s’abat sur le bonheur des autres. tu l’as su à la seconde où tu as endeuillé la famille Vlaesper. tu l’as touché, et t’as fini par la souiller. par cette malchance, malfaisance, qui te colle à la peau. 18. d’abord faust puis ensuite toi. tu l’as suivi dans le chemin sinueux des lost children. au final, t'en avais rien à foutre. du moment que tu restais avec lui. t’es devenu ce fossoyeur, ce mec qui décime des vies. ce mec qui bute des familles entière pour quelque billets. t’as besoin de fric. pour toi. pour eux. et t’as jamais voulu faire comme ta putain de mère noyer dans sa coke et son plaisir égoïste. alors tu tues. t’adonnes, tu loues ton sadisme et cette violence qui te bouffe. t’exultes dans des moments carminés, à ne plus trop savoir comment faire pour extérioriser toute cette haine que tu as envers toi même. 19. t’es ce gosse de détroit. toujours le même. ce mec qui se plait à casser du pédé. à démonter des gueules pour le plaisir. à sourire et a donner des coups comme tu en reçois. t’as compris que t’étais bon à ça et que, putain, ça fait du bien ! 20. depuis quelque temps, y a cette tare que tu caches au fond de ton lit, dans le creux de tes draps rendus humides par vos étreintes effrénées. et tu le détestes. c’en est presque viscérale. t’as compris qu’il faisait partie de ces brebis égarées quand tu l’as violement chopé, un soir, sa putain de bouche collée à un autre mec. t’as compris que, comme ton père, t’allais devoir lui faire comprendre que ce qu’il fait, c’est aucunement autorisé par ce tout puissant qui se plait tant à prier. ramassis de conneries. t'as compris que t'allais devoir l'annihiler pour tout ce désir qu'il éveille en toi. tel un émoi brutal. une aversion. une addiction... « mon fils n'est pas un pédé. »
↝ VOTRE PSEUDO : nérée. ↝ PAYS : la france. ↝ FRÉQUENCE DE VISITE : régulière, j'ai pas un boulot facile... ↝ OU AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? : bazzart. ↝ T'AS PEUR DE QUOI ? : du trou qui nous attend... ↝ TU MESURES COMBIEN ? : 240M ↝ UN MOT A RAJOUTER : c'est tout beau, comme le header... les pré-liens et les membres. vous être beau ! ↝ CREDITS : ailahoz/faust. (c) killing me softly / 2017
Dernière édition par Jaz Roy le Ven 21 Avr - 8:28, édité 10 fois |
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Invité Invité
| Sujet: Re: NO REQUESTS NO REGRETS Jeu 20 Avr - 13:53 | |
| bloom. hey gamine ! merci pour ton message. je te retourne le compliment concernant le speudo, t'es belle.
kennedy. ellie martin tellement parfaite ! avec sa bouille de sale gosse, on a envie de lui donner un petit correction ... et puis merci pour ton message !
adelaide. ravi que ça te plaise babe. viens stalker, je te ferais une petite visite gratuite de ma personne...
stella. ouais j'ai remarqué mais c'est ce qui fait de son charme... enfin je crois en tout cas, merci pour ton message et je n'hésiterai pas, promis
echo. .... ...... ........ ......... .......... ............ WESH !! ET IL EST OU MON MP ? EN PLUS JT'AI CRAMÉ ! DÉJÀ ENTRAIN DE TORTILLER DU CUL DEVANT ZOMBIE MAN... putaing, toi et moi, on va en faire de grandes choses, t'inquiètes. non mais sérieusement, merci et puis des messages de bienvenus comme ça, j'en veux tout les jours ! j'suis contente que le début te plaise. allez avec tout mon amour
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